Chaque année, nous sommes très nombreux à prendre de bonnes résolutions et à ne pas les tenir. Or, cette année est légèrement différente puisque la plupart de ces résolutions sont très faciles à tenir. En 2021, de nombreux Français se sont juré d’adopter des gestes plus écologiques. C’est un mode de vie que l’on met en place progressivement et qui ne nécessite pas un bouleversement radical de son quotidien.

Réduire ses déchets ménagers

La majeure partie des produits que l’on utilise dans notre quotidien sont emballés, voire suremballés. C’est d’autant plus catastrophique que la plupart de ces emballages ne sont pas recyclés et se retrouvent dans la nature, parfois à plusieurs dizaines de milliers de kilomètres de chez nous. Sur Internet, on peut se lancer plus facilement dans cette alternative en se procurant un kit zero dechet qui contient divers produits d’emballage, de nettoyage, des cosmétiques et des accessoires qui ne génèrent aucun déchet. Le reste viendra plus naturellement.

Manger sans polluer

L’industrie agroalimentaire a un impact très négatif sur l’environnement, notamment du fait de la production de gaz à effet de serre lors du transport des denrées alimentaires et de l’utilisation de pesticides nocifs pour la nature. Pour lutter contre cela, il y a deux solutions. La première consiste à se mettre progressivement à consommer des aliments issus de l’agriculture biologique. La seconde consiste à acheter ses produits en circuit court dans la mesure du possible. 

Changer de moyen de transport

 C’est aussi une manière pour nous de réduire notre impact négatif sur l’environnement et éviter de produire des gaz à effet de serre. Pour commencer, il faut éviter les véhicules qui polluent en préférant les transports en commun et les transports écologiques (voiture électrique, vélo, trottinette…). Ensuite, il faut privilégier les trajets à pieds dans la mesure du possible. Lorsque l’utilisation de la voiture est indispensable, il est intéressant de réfléchir aux solutions de covoiturage qui permet de limiter l’empreinte carbone des voyageurs.